LE MEDECIN CONTRÔLEUR FOU DIT DOCTEUR MABOUL…

LE MEDECIN CONTRÔLEUR FOU DIT DOCTEUR MABOUL…

S’il s’agissait d’une nouvelle pièce dont Molière aurait pu avoir le secret, nous pourrions en rire mais malheureusement loin d’une éventuelle fiction, nous allons bien parler de la réalité.
Vous êtes de plus en plus nombreux à nous interpeller sur le comportement inacceptable d’un médecin contrôleur dont nous tairons bien evidemment le nom mais contre lequel il faut désormais révéler, dénoncer sans détour les agissements perfides.

maboule

La DRH, interrogée par FO sur ce problème ne peut pas selon ses propos intervenir et régler ledit problème. Petit rappel concernant les contrôles : certains sont effectués à la demande du pôle dont dépend l’agent en arrêt et d’autres le sont à la demande de la DRH de manière aléatoire après « tirage au sort » en rappelant que si vous êtes en arrêt pour longue maladie, vous ne pouvez en aucun cas être contrôlé de la sorte.  

Ce médecin «contrôleur fou» , sans même prendre le temps d’effectuer une véritable contre- visite médicale pour établir le bien fondé ou non de l’arrêt initial de l’agent, vocifère, vitupère contre les personnes chez lesquelles il effectue ses visites…

A croire que ce dernier est « médecin malgrè lui » pour reprendre le titre d’une pièce de Molière. En effet, bien souvent les propos qu’il tient n’ont aucune résonnance médicale mais sont plutôt de nature culpabilisante, insultante, discriminante, méprisante, condescendante….   

Comme nous l’avons déjà préconisé aux agents s’étant rapprochès de nous, n’hésitez pas à envoyer un courrier à la DRH en expliquant et argumentant point par point le comportement  intolérable de ce « contrôleur fou ». Vous pouvez également nous contacter si besoin.

FO ne laissera en aucun cas perdurer de telles situations et agira selon ses prérogatives pour faire stopper de tels comportements.
FO invite d’ailleurs les autres composantes syndicales à la rejoindre dans le seul but d’effectuer une démarche commune, collective auprès des autorités compétentes et obtenir une réponse à la hauteur du préjudice subi par les agents dont la seule préoccupation devrait être de se soigner.
Pour terminer sur le titre d’une pièce de Molière, les agents ne sont pas des «malades imaginaires… ».
L’INFO OÙ IL FAUT, QUAND IL LE FAUT AVEC FO !

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